« Entre les rives du même et de l'autre, l'homme est un pont », déclarait J.-P. Vernant.
Quand je sors et rencontre des gens, des amis ce sont toujours eux qui se transforment en miroir, en glace où je peux me reconnaître et chaque rencontre est un pas en direction d'un moi qui n'est jamais le même mais qui se rapproche au fur et à mesure du « vif du sujet »..........
Le moi qui lit rencontre des personnages qui lui permettent d'apprendre, d'approfondir la sensibilité du « vif » :
« Il lui semblait aujourd'hui que si l'homme devait être vraiment libre, il devait se comporter librement aussi avec ses idées, ne pas se laisser entraîner complètement par la logique, pas même par la vérité, laisser une marge humaine à toute chose, autour de toute pensée. » (Romain Gary : Lady L.)
Gros bisous. Dorothea
